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Party Like A Human

General Elektriks

Pistes :

  1. Seeker
  2. Pick Up the Pieces
  3. Party Like a Human
  4. Electric Pigeons
  5. In the Night Sky
  6. Chambre magique
  7. Giving Up on You
  8. Just a Man, Just a Woman
  9. Me First Me Better
  10. Cosmic Check, Pt. 1: They Came from the Stars
  11. Cosmic Check, Pt. 2: One Foot in the Grave
  12. Cosmic Check, Pt. 3: Humans Unite!
  13. Don't Wanna Be a Part of This

Musiciens :

Hervé Salters (claviers, chant) - Lateef the Truthspeaker (chant) - Ariane Labed (chant) – Céu (chant)

Chronique :

General Elektriks revient avec un septième album de sortie de Covid ? En tout cas, le titre est évocateur, Party Like A Human. Après une année et demie de disette, pas de concert, pas de fête, pas de promiscuité entre potes ou en famille… il était temps de remettre la fête au milieu de la vie.

D’autant que, reconnaissons-le, le monde était dans une sorte de friche. C’est ce qui a marqué le franco-britannique Hervé Salters dans la construction de ce nouvel album. L’œuvre d’art de l'artiste pop italienne Laurina Paperina a non seulement donné la pochette du disque mais a fortement inspiré et guidé le musicien dans la construction de Party Like A Human.

Donc General Elektriks livre un nouvel album assez bondissant, dansant même, chargé de progressions harmoniques et d’un groove sec. L’album est peaufiné comme une vieille Buick Woody, avec ses chromes lustrés, ses formes futuristes et son bois chaud pour compléter ses lignes. Et Party Like A Human, c’est tout ça à la fois.

L’album renferme une collection de chansons ultra-bigarrées, grand écart mélodique qui s’étend du groove électro de « Party Like A Human » au hip hop stroboscopique chanté par le rappeur californien Lateef the Truthspeaker en passant par cette chanson française aérienne, « Chambre Magique » en duo avec Ariane Labed. Les atmosphères cosmiques ne manquent pas à l’appel, avec les trois parties de « Cosmic Check » et leur thème extra-terrestre. Le travail de finition est dantesque, très copieux et même si parfois la sensation d’opulence émerge, l’album est un vrai tour de force.

Jean

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